Afin de mettre en place de nouvelles structures et mieux encore adapter l'association de la mutualité Isongasonga dans l'environnement d'une société multipartiste et pluraliste actuelle, il revient à ses intellectuels et sages d'imaginer et de configurer l'association en une communauté moderne de développement.
1) Établir un état des lieux pour les Topoke à Kisangani
2) Analyser le mode actuel de gestion d'Isongasonga
3) Proposer un mode de gestion devant tenir compte des us et coutumes Topoke.
4) Suggérer la modernisation de gestion
Rappels historiques:
1."L’histoire des Topokes dans notre province est connue de tout intellectuel Topoke, de Ngombe Munene, Lifeta Li Balembe, Boenga a Baimoli, Chef Tolenge de Gelonga en 1935, Litua et Bossongo à Isongasonga en passant par OITO dont vous faites allusion dans votre posting. Un peuple guerrier, unis et rassembleur. Rappelez- vous de notre identité « Toba ge to ngbe laabwina ». Il ressort de cette histoire que nous, Topokes, ne méritons pas ce que nous sommes en train de subir": (Innocent Liengola).
2. "Depuis l'indépendance, 50 ans après, le peuple Topoké n'a pas encore compris. Patrice Lumumba, nous a utilisé pour être hissé sur plan international, il nous a ensuite deçu pour nous reserver les postes des commissaires de police et d'adjudant dans l'armée. Quel sort a-t-on reservé à notre père Félé Josias? La deuxième magistrature, aucun commissaire d'état ou ministre. Prof Moloni nommé deux fois secrétaire d'état à l'économie pour trois mois à chaque passage au conseil exécutif; Charles Lututa, PDG de sozacom a fini par faire la prison suite à la machination de nos frères de la province et surtout de districts cités par notre frère. La troisième législature, un frère hissé ministre a été balloté et nous démeurons sans représentant au niveau du gouvernement.
Aujourd'hui, nous sommes appelés à aller aux urnes avec quels candidats? Le foisonnement des candidats sans préparation aucune ne fait que réduire notre chance de faire passer un des nôtre à la députation nationale et cela risquerait aussi pour la députation provinciale. La délagogie utilisée par nos frères de la législature finissante fait que nos frères du territoire ne vôterons pas pour un candidat topoké. Alors ne soyons pas dupes et distraits. Rassemblons nous autour d'un candidat à Kisangani et un autre à isangi pour ariver à décrocher deux sièges au parlement national.
Quant à la députation provinciale, ous pourrons avoir davantage pour que nous puissions faire sortir un sénateur topoké. Isonga songa peut initier un bureau d'études qui pourrait puiser et nous proposer des stratégies possibles pour en ariver là. Sinon, nous continuerons à regreter comme toujours. Soyons et restons unis, car l'union fait la force. L'unité pour le développement et non pour la distraction et les actions banales qui nos font friser la bassesse et pourtant nous constituons la masse critique importante des intellectuels de toute le province.
Pensons à l'organisation des topokés de 1958 quand nos parents ont défilé devant le gouverneur général de l'époque, tous en uniforme, qui a fait que des injures de TPV, les topokés ont été considérés la tribu la mieux organisée et mieux structurée de la province et qui a valu que, à l'aube de l'indépendance, deux topokés aient été invités à visiter les états-unis d'amérique et papa Basay François et Bosongo (malheureusement) ont pu s'y rendre à la place de chef Ngwangwa et de papa Loku Edouard. L'OITO (L'Organisation Interne des Topokés) a eu à mobiliser les hommes politiques de la province: notons la rencontre de yabaondo sous l'égide de papa Fele Josias et autres, qui a connu la présence de Gbenye et autres.
Dans l'unité nos gagnerons. Sortons de la distraction, évitons l'égocentrisme, sachons faire les concessions et ne restons pas collé aux étiquettes des partis politiques; voyons le peuple topoké dans son développement intégral.(Dr Olinda).
Mercie bcq nous somme deriel des autres, il faut vraiment avance,nous les topoke?
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