mercredi 26 décembre 2018
�� TU ATTIRES CE QUE TU IMAGINES LE JEU DE LA VIE *Florence Scovel Shinn ...
�� TU ATTIRES CE QUE TU IMAGINES LE JEU DE LA VIE *Florence Scovel Shinn ...
samedi 13 octobre 2018
lundi 3 septembre 2018
DE L'IRRECEVABILITE DE LA CANDIDATURE DE J.P. BEMBA PAR LA CENI
Analyse de Me Bernard,
Nous estimons que la CENI vient de commettre un
faux pas de plus qui la décrédibilise aux yeux des Congolais. Nous supposons
qu’elle a un service ou une direction juridique qui veille non seulement à
l’application des textes légaux la visant, mais aussi, à l’interconnection de
ceux-ci avec les autres textes légaux. Si c’est le cas, son Service a failli.
La confusion des textes légaux relatifs à la
subornation des témoins et la Corruption est flagrante, bien que
tous les deux soient des infractions intentionnelles instantanées
prévues par le Code Pénal congolais, il y a lieu de retenir ils sont
distincts en définition et en conséquences :
Selon le dictionnaire, La
subornation de témoins est le fait de faire pression sur un
témoin par le biais de dons, de promesses ou en exerçant des menaces à son
encontre afin qu'il modifie sa version des faits dans le cadre d'un procès.
C’est une sorte de complicité à l’infraction de faux témoignage.
Dans le Code Pénal congolais, la
subornation des témoins est localisée dans le Livre II, Section V, intitulé
« Du faux témoignage et du faux Serment », aux articles
128 et 129 qui prévoient :
« 128. Le faux
témoignage devant les tribunaux est puni de servitude pénale.. La peine peut
s'élever à cinq ans.
Si l'accusé a été condamné soit à la
servitude pénale à perpétuité, soit à la peine de
mort, le faux témoin qui a déposé
contre lui peut être condamné à la peine de servitude pénale à perpétuité.
129 : Le coupable de subornation de
témoin est passible de la même peine que le faux témoin, selon la distinction
de l'article précédent. »
L’objet de cette dernière infraction
est l’incitation au mensonge ou à son abstention. Le but est d’égarer la
justice et enfin, la conséquence est qu’une fois la démarche du
suborneur posée, qu’il y ait effet ou pas effet, il doit être poursuivi.
La Corruption,
elle peut être active ou passive, publique ou privée, est un
comportement pénalement répréhensible par lequel une personne (le corrompu)
sollicite, agrée ou accepte un don, une offre ou une promesse, des présents ou
des avantages quelconques en vue d’accomplir, de retarder ou d’omettre
d’accomplir un acte entrant d’une façon directe ou indirecte dans le cadre de
ses fonctions.
La corruption procure un
enrichissement personnel du corrompu, en espèce, en nature, ou en tout autre
avantage.
Le Code Pénal congolais réprime cette
infraction. Nous la retrouvons dans le Livre II, Section VII « De la
Corruption, des rémunérations illicites, du trafic d’influences et des
abstentions coupables des fonctionnaires », article 147, auquel renvoie
l’article 10 de la Loi électorale qui prévoit en substance les conditions
d’inéligibilité dont :
« 1. Les personnes privées de
leurs droits civils et politiques par décision judiciaire irrévocable.
2. Les personnes condamnées par une
décision judiciaire irrévocable pour crimes de guerre, crime de génocide et
crimes contre l’humanité ;
3. Les personnes condamnées par un
jugement irrévocable du chef de viol, d’exploitation illégale des ressources
naturelles, de corruption, de détournement des deniers publics, d’assassinat,
des tortures, de banqueroutes et de faillite ;
4. Les personnes frappées d’une
incapacité mentale médicalement prouvée au cours des cinq dernières années
précédant les élections ;
5. Les fonctionnaires et agents de
l’administration publique ne justifiant pas, à la date limite du dépôt des
candidatures, du dépôt de leur demande de mise en disponibilité ;
6. Les mandataires actifs dans les
établissements publics ou sociétés du portefeuille ne justifiant pas, à la date
limite du dépôt des candidatures, du dépôt de leur lettre de démission ;»
7. Les magistrats qui
n’auront pas donné la preuve, à la date limite du dépôt des candidatures, du
dépôt de leur lettre de mise en disponibilité ;
8. Les membres des forces armées et
de la Police nationale congolaise qui n’auront pas donné la preuve, à la date
limite du dépôt des candidatures, de leur démission acceptée ou de leur mise à
la retraite ;
9. Les membres du Conseil économique
et social, du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, de la
Commission nationale des droits de l’Homme, du Conseil National de Suivi de
l’Accord et du processus électoral, de la Cour des comptes qui n’auront pas
donné la preuve, à la date limite du dépôt des candidatures, de leur démission
ou de leur mise à la retraite ;
10. Les membres de la Commission
électorale nationale indépendante à tous les niveaux, y compris le personnel.
Il importe de rappeler que les conditions
d’éligibilité à la fonction du chef de l’Etat sont clairement prévues par la
constitution, du 18 février 2006, en son article 72 qui prévoit :
« Nul ne peut être candidat à l’élection du
Président de la République s’il ne remplit les conditions ci-après :
1. posséder
la nationalité congolaise d’origine;
2. être
âgé de 30 ans au moins ;
3. jouir
de la plénitude de ses droits civils et politiques;
4. ne
pas se trouver dans un des cas d’exclusion prévus par la loi électorale.
A notre humble avis, tant le Code
Pénal congolais qui distingue clairement les deux infractions
(Subornation des témoins et corruption) que la Loi électorale, du
24 décembre 2017 ; voire même le socle de la matière électorale dans la
Loi fondamentale, ces textes sont clairs et ne suscitent pas d’interprétation.
Sur ce point, les textes légaux ne
peuvent faire l’objet d’interprétation que lorsqu’ils ont des sources obscures,
c.à.d. il y a un doute sur leurs sens, le législateur n’a pas voulu dire ce
qu’il a dit dans le texte. En ce cas, ce même législateur
ou le pouvoir exécutif ou le Juge, chacun en ce qui le
concerne va chercher, selon DELPEREE, une interprétation souple mais
fidèle, intelligente mais prudente, imaginable, mais objective, soit
l’intention réelle du législateur. Par l’interprétation souple, on
entend, celle qui est favorable à la personne qui fait l’objet de la
poursuite ou de la condamnation.
Si la CNI n’a pas trouve les trois
textes légaux auxquels elle est renvoyée, cohérentes, elle devrait simplement
soumettre le cas de BEMBA, au Juge constitutionnel qui est sensé
maîtriser les textes légaux avec la particularité du droit pénal qui
est d’interprétation stricte, toute interprétation par analogie étant en
principe prohibée.
Si la Subornation des témoins était
équivalente à la Corruption (qui rend le candidat inéligible), le législateur
congolais n’allait pas les prévoir dans deux sections distinctes du
Code pénal et allait préciser clairement cette condition dans l’article 10 de
la loi électorale.
Pour le surplus, la décision de la
juridiction internationale portant sur la subornation des témoins n’interdit
pas à JP BEMBA, l’exercice de ses droits civils et politiques.
La rigueur de la loi,
nous oblige à se soumettre à l’application d’une loi claire, exempte
d’imprécisions car ce qui est claire ne souffre pas d’interprétation. Les
textes légaux sont clairs, la candidature de J.P. BEMBA ne doit pas
être écartée pour un motif fallacieux légalement.
Il appartient aux avocats du MLC de
s’activer pour introduire un recours à la Cour Constitutionnelle et voire même,
un recours en extrême urgence, au Conseil d’Etat, pour entendre
annuler l’acte administratif de la CENI.
Pour répondre à notre vieux LEON
KENGO, un ancien de l’ULB, qui évoque que l’acquittement de JPB de l’infraction
principale disqualifie l’infraction de subornation des témoins, une telle
argumentation ne reflète pas la réalité juridique pénale car le
législateur en général a érigé, la subornation des témoins, en délit
principal et autonome, permettant ainsi la répression du suborneur,
même dans le cas où le témoin n’aurait pas établi un faux témoignage, et où il
n’y aurait donc pas de délit principal de faux témoignage.
Me Bernard AYAYA
jeudi 19 juillet 2018
RAPPEL HISTORIQUE D'ÉCHANGE AVEC MON FRÈRE BIEN AIME EN 2015
Bonjour cher frère,
Après avoir lu et relu attentivement la troisième réaction de mon
frère (- d'abord la fameuse question test de demande méthodologique à la question du néophyte que je suis en
la matière, puis – l’explication-réaction du scientifique à la réaction-secours d’un autre scientifique à la « question-piège attrape
nigaud »!), je n'arrive vraiment
pas à comprendre comment, la simple question introductive d’appel à la
réflexion et à la méditation d'un document peut-être qualifiée de « question
piège ou de question orale sans débat» et d’autant plus la fameuse réaction
dite musclée exprimait des besoins personnels du néophyte et non une missile
qualifiée « d'injurieuse, musclée, disproportionnée,
ironique, ... » voire de foudroyante ( Kake, Kai, Ndiba, … et non juste un LIgegendi
) ! Pire encore, le néophyte
est assimilé à un oiseau dangereux (Ndjou, Kokombe, Lihuluhulu, Botuma, ...) et nostalgique défendant BEC et ONGLE (la bafafu, la bafalala, ba bofogofogo ...) le Sieur Terminator,
diable fait homme !
Je suis en plus chagriné que l’on pense, un seul instant que
Botshafulo bo Logogo (afoe baye ba litongo kamo !) soit nostalgique de la
république de Gondouana de Terminator (grand prêtre du système qui a laissé en lui
des traces négativement indélébiles !), et non de celui admiré par son frère
bien aimé, la république sœur de YAFOI, « le pays où tout va bien, le pays où
il n'y a plus de problème »
parce que débarrassé des brebis galeuses du genre Terminator, de triste
souvenir. On n’y chante plus, encore moins, danser pour le PF, mieux pour l’AI,
« l’Autorité Immorale » ! En effet, « il n'y a plus de
morts à YAFOI ni esprit de mort, encore moins, des escadrons de la mort du
genre « HIBOUX ou DSP »(!), mais seulement comme à la République de
MBENGE, où l'on trouve partout « les effigies de l'homme qu'il fallait,
voté à 100 % par les VIVANTS et les MORTS, digne FILS de YAFOI, le père
éclairé, le Responsable
des Assassinats
et de l’Immoralité
Sociale, autrement
reconnu « RAÏS », pour les fans de la dernière heure :
modernité de la révolution oblige».
Mea Culpa, je me suis certainement mal exprimé, d’autant plus que mon
message aurait présenté d’emblée un certain caractère d’hostilité,
d’agressivité, d’animosité gratuite et surtout non profond ni brillant,
superficiel, autrement dit épidermique !
Être mal compris à ce point mérite de tourner sa langue n fois avant d’ouvrir
la bouche sans dents.
Définition des mots usités
Avec espoir d’être plus dermique,
mieux encore, un peu plus profond, précisons d’emblée que dans le texte
incriminé, loin d’être une injure, le néophyte désigne, à l’instar d’un NOUVEAU adepte d’une religion, d’une doctrine, d’un parti, d’un art, …,
une personne comme moi, qui aborde un NOUVEAU domaine d’expérience, ici les
sciences humaines, particulièrement la « folonika = art de mentir ». Dans mon texte, le représentant des néophytes, c’est
moi-même. Jadis ingénieur pour rire, en ces temps qui sont les derniers, je
m’intéresse aussi et surtout aux « sciences
des vivants et des morts », comme un intrus, à la chose de BONTO.
Des termes « Savant,
expert, technocrate, spécialiste, … » ne sont pas des titres académiques et encore moins des
injures à MBENGE et peut-être à YAFOI ! Bien que SAVANT soit le terme
« pur, formé à partir de la racine SAVOIR, il est plus ou moins tombé en
désuétude et remplacé par SCIENTIFIQUE ou
Chercheur ». Ainsi SAVANT signifie également, « qui
est bien instruit, bien informé de quelque chose ». Autrement
dit, quand mon frère de YAFOI se reconnaît aisément Scientifique, il n’y a
aucune usurpation de sa part, et quand je dis que, lui et mes autres « frères
et amis » sont des Chercheurs ou Savants, nous disons pratiquement la même
chose, à l’orthographe près. Donc il n’y a ni ironie et encore moins INJURE.
D’autant plus qu’un SCIENTIFIQUE désigne une personne qui se consacre à l’étude
d’une SCIENCE ou des SCIENCES et/ou qui se consacre à l’étude d’un domaine avec
RIGUEUR et Méthodes Scientifiques. A MBENGE, ils sont appelés « hommes de science » ou « NGANGA MAYELE ».
J’attends par TECHNOCRATE, un partisan de la technocratie c.à.d. un personnage (politique ou haut
fonctionnaire) qui agit, décide en fonction de données techniques ou économiques. Donc comme scientifique, expert,
il privilégie moins « l’idéologie » ( qui donne la priorité aux
facteurs humains, éminemment subjectif ).
L’EXPERT n’est
pas simplement celui qui sait, sur un champ délimité du savoir, mais une
personne à qui, l’expérience reconnue, lui permet d’apporter une réponse
argumentée à une demande
d’expertise. Ainsi dès que nous sollicitons une aide, même indirecte, pour
différencier « l’info de l’intox »,
nous faisons appel à ceux qui ont une certaine expérience dans le domaine ou
maitrisent les nuances entre les méthodologies usitées en sciences « des
vivants et des morts » pour éclairer nos lanternes : ni piège, ni
polémique stérile et encore moins « question orale sans débat, à vrai
dire, nous aimons les débats et échanges mutuellement enrichissants, du moins, pour
nous les néophytes ».
Notre souci de base demeure de connaitre, encore et toujours, un peu plus.
Surtout si celui qui veut réfléchir à haute voix est supposé être maître dans
le domaine : « partage fraternel de choses de l’esprit ».
Le Web définit le DETRACTEUR comme étant celui ou celle qui prend plaisir à critiquer voire rabaisser quelqu’un ou quelque chose (voire des échanges des
prototypes des détracteurs en pièces jointes). Peut-on vraiment dire, après
lecture des écrits de « l’homme indépendant et penseur libre » sur
Terminator, que celui-là a une haute bonne opinion de celui-ci ? A chacun
son opinion.
De l’enquête non scientifique
Sans une analyse critique
sérieuse préalable, conformément aux règles de l’art, de la feuille de chou
du Terminator, mon frère affirme, ex cathedra et sans rire que, « l’enquête à la
Ngbanda » est tout (« enquête de marketing, judiciaire, journalistique, ...
administrative, sociologique, parlementaire ... de détective ou d'espionnage,
enquête devant, par -devant le juge »), sauf une
« enquête scientifique »,
conduite selon les règles de l'art ! Sans vraiment nous dire en quoi
« l’enquête dite scientifique » prime sur tous les autres types
d’enquêtes ou d’études ? Parce qu’à YAFOI, l’autorité morale qui ne reconnait
que celle-ci et/ou parce ce que le « Jury des scientifiques de MBENGE, non loin de GONDOUANA »,
mondialement connu, ne tient pas à rendre crédible ni cautionner « les versets sataniques à la Ngbanda comme œuvre d’esprit » indigne
d’être examinée par les membres de l’Académie de Science de MBENGE !
On
dirait qu’une « fatwa de l’Ayatollah Mollah OTEM (pour les disciples)
frapperait déjà, à YAFOI, toute œuvre de l’esprit susceptible de sortir de la
« caboche démoniaque du Terminator » !
Est-ce
vraiment l’attitude recommandée d’un « Nganga mayele » ou celui d’un
« idéologue de Tshembe-Tshembe, du parti PPPP » séquelle du
Parti-Etat? L’approche méthodologique ressemble admirablement à la
« révolution comparaison » du régime de « conglomérat
d’opportunistes et d’aventuriers » de YAFOI ! Selon les « avis éclairés » du grand prêtre
Bweng’aa BAIMOLI de l’académie des Sciences de MBENGE, c’es avec une
« analyse critique dudit
document », qu’on aurait dû examiner
froidement des « faits relatés,
des chiffres affichés, des interprétations d’observations menées afin certainement
de les nuancer, contredire et/ou compléter » :
o
Nuancer :
montrer que la position du Terminator n’est pas acceptée unanimement et qu’il existe d’autres points
de vue émanant des occupants, des collabos, etc.
o
Contredire
: Ce que dit Ngbanda dans telle ou telle assertion manifestement fausse compte
tenu de connaissances de l’expert ou l’existence d’autres documents.
o Compléter :
certains points ou arguments ne sont pas évoqués, alors on enrichit le document,
avec d’autres éléments (archives) émanant de la ferme Académie de YAFOI. Le papier du Terminator n’est pas encore historique,
en tant que contemporain à lui, chacun « homme libre et penseur
indépendant » a l’avantage d’analyser et d’émettre des critiques
objectives, pour le nuancer, le contredire et mieux encore le compléter.
En
néophyte zélé de Mbenge, le pseudo-scientifique, persiste à croire, à tort, que
les « versets sataniques à la Ngbanda » respectent
naturellement et scrupuleusement, une certaine
« méthode scientifique » et les résultats de son enquête ne
manqueraient pas d’être soumis, sous peu, pour publications à la revue « NATURE,
SCIENCE, … MOPAP revues dotées de comité de lecture prestigieux ».
D’après les charlatans des « sciences
des vivants et des morts » de MBENGE, le terme « méthode » suggère
sournoisement « l'idée implicite de son unicité », tant auprès du
grand public que de certains savants de YAFOI, qui de surcroît la confondent
parfois avec la « seule méthode
hypothético-déductive ». L'étude des pratiques des
chercheurs de GONDOUANA révèle cependant que « la grande diversité de démarches et de
disciplines scientifiques confrontée à l'idée d'une unicité de la méthode est
rendue très problématique ». Cependant, ce constat ne doit pas
être entendu comme une « forme d'anarchisme
épistémologique ». Si la question de l'unité de la
méthode est problématique, cela ne remet pas en question « l'existence
d'une pluralité de canons méthodologiques qui s'imposent aux chercheurs dans
leurs pratiques scientifiques ».
Même au pays des Immortels, « la question de la méthodologie unique et univoque »
préconisée par les scientifiques de YAFOI, le pays où tout va bien, « certaines insinuations sur
cette question précise paraissent préjudiciables
à l'intelligence ( !) et de conclure
que « la véracité des résultats d'une étude est toujours
directement proportionnelle à la fiabilité d’approches, à l'authenticité des
sources et à la crédibilité des agents qui dépendent elles aussi de la valence
et du profil intrinsèque des chercheurs ». Curieusement Terminator et ses affidés seraient aussi de
cet avis !
En outre, selon le CREDO des
« Nganga LOKUTA de MBENGE, qui aiment TOUT lire et ont du temps à
revendre, mêmes les « charabia dixit Terminator », avant d’exclure
toute « enquête ou recherche » hors d’étiquette scientifique, il faut
montrer, au néophyte, qu’à l’aide de l’analyse critique négative
interne et d’exactitude dudit document,
que les caractéristiques objectives ont été bafouées et non, par un revers de
la main et selon le principe généralement admis à YAFOI que, « tout document
produit par Terminator ne soit pas reconnu scientifique jusqu’à preuve du
contraire (qu’on refuse, hélas, naturellement
d’examiner) !» En dehors de toute phase de la « critique interne », ou
« herméneutique », les scientifiques de YAFOI ne s’intéressent guère au
contenu du document, c.à.d. déterminer ce qu’a voulu dire l’auteur par « l’analyse du contenu et la critique positive
d’interprétation pour s’assurer de la véracité des faits ; l’analyse des conditions dans lesquelles l’acte
est produit et la critique négative nécessaire pour contrôler les dires de
l’auteur ». Ces
opérations critiques ont pour but, notamment, de s’interroger sur les motivations
véritables de l’auteur. Dans ce cas Langlois et Seignobos parlent de
« critique interne négative de sincérité et d’exactitude », voire in LANGLOIS,
Charles-Victor et SEIGNOBOS, Charles, « Introduction aux études historiques », Paris, Hachette, 1898.
Méthode
scientifique
De Mao, nous avons appris de l’abbé JP MBEL
que « pour mettre de l’ordre dans une organisation, il
faut commencer par le mettre
dans les idées. Cette
bataille des idées, de son avis, doit se mener dans la sérénité et sans tabou » :
donc un débat intellectuel contradictoire et respectueux, sans
injure ni brutalité» :
c’est le CREDO existentiel de MBENGE.
|
Les étapes de
la démarche
1°
Observation : première étape pour résoudre une « énigme scientifique »
telle que « le fonctionnement du
réseau d’infiltration et d’occupation d’un état par un autre en Afrique Centrale
», demeure l’observation. C'est alors il faut récolter des
indices, prendre des notes, faire des photos, des croquis, des schémas …. En
relevant des données qualitatives (nouveau
comportement de maitres et leur nocivité, cellules organisationnelles
infiltrées, … nature des personnes tuées, transplantées) et quantitatives (nombre des personnes infiltrées, leur âge, taille, … ressources
naturelles pillées, … nombre des tués par nature, nombre femmes violées). Grâce
à ces observations, une énigme émerge (l’occupation): Que s'est-il
passé ?
2° Les Hypothèses – les pistes
La seconde
étape, c'est l'émission d'hypothèses, de pistes. On va faire toute une série
d'hypothèses et sélectionner une série d'entre elles à explorer et qui feront
l'objet d'expériences.
3° Les
Expériences
Dans cette
étape, on vérifie les hypothèses émises en réalisant des expériences et des
analyses. Les résultats de ces expériences devront ensuite être interprétés.
4°
Les Résultats
et la vérification des hypothèses (pistes)
Cette étape
débute par l'analyse des résultats : sont-ils en accord avec les
hypothèses émises ? Doit-on faire de nouvelles hypothèses ou les hypothèses
sont elles vérifiées ? Si de nouvelles hypothèses sont envisagées, on reprend
les expériences. Si l'hypothèse est vérifiée et que les résultats sont en
accord avec celle-ci, alors on communique les résultats sous forme de
conclusions.
5° Conclusion
Les
conclusions reprennent l'énigme de départ et les différentes hypothèses
suivies. Dans la conclusion, on retient les résultats pour répondre à l'énigme
en sélectionnant les hypothèses validées par les expériences.
Méthode Scientifique Classique admise à MBENGE
Méthode Scientifique Moderne admise à YAFOI
Pas besoin de partir des observations, mêmes relevées par le panel de
l’ONU ni les ONG et encore moins sous des lunettes, sans verres, du
Terminator : toujours une interprétation libre. Demeurer toujours
critique, surtout si l’observateur n’a jamais fait d’allégeance au calife de
KINGANDANI ! Se méfier absolument si « Terminator et ses affidés »
auraient pu croiser les experts de grands lacs. Adapter nécessairement les
résultats afin de « modifier la théorie pour coller aux données » selon
« la fameuse théorie savante » de l’expert MULUNDA permettant, hélas,
jusqu'à la modification des « données » pour les besoins de la
cause !
Les Savants de MBENGE des Sciences
Appliquées[1]
prétendent suivre, grosso
modo une « méthode scientifique »
consistant
de façon simplifiée pour une meilleure compréhension
(des néophytes), décliné également en quatre étapes : modélisation,
déduction logique, interprétation, vérification expérimentale.
Face à une situation
réelle donnée, « occupation
du Congo Belge, par exemple, par ses voisins de l’EST »,
le scientifique de Mbenge simplifie « à la Ngbanda »
en faisant abstraction « d'une
foule de détails, notamment présence de Mbororo, transplantation des
FDLR, moulinage des (23M +DCR + LDFA + … ), éléments mixés et brassés,
promotion dans les institutions notamment dans les FARDC … pour
ne retenir que ce qu'il croit essentiel «partage équitable
équilibré des ressources pillées, les
rescapés du massacre du Terminator, les naufragés du Parti-Etat, le Mobutisme, etc.»
Le résultat de cette opération de
modélisation est un objet mathématique (que toutes les enquêtes ou recherches
de YAFOI doivent scrupuleusement respecter sinon, poubelle) le modèle retenu de
la situation réelle :
|
Ensuite
vient « l'analyse du modèle
par une panoplie de méthodes
mathématiques dont l'efficacité a été décuplée depuis une quarantaine
d'années par l'utilisation de grands Ordinateurs
Scalaires ou parallèles ».
Le produit de cette opération de déduction logique
consiste en un ou plusieurs énoncés qui ont la propriété de se prêter à une
interprétation ayant un sens dans la situation réelle donnée au départ que
« les
savants de YAFOI peuvent rajuster conformément à la volonté de l’Autorité
Morale, bien-aimée ». Le produit de cette opération d'interprétation
est un « projet de loi scientifique =
la
loi Yafoi no.17i» qui, pour être sanctionné, doit
franchir « l'étape cruciale de la vérification
expérimentale qui complète le cycle de la méthode scientifique » que
le Sieur Terminator et affidés sont congénitalement incapables de respecter ou
de faire respecter, jusqu’à preuve du contraire! Ambiance.
Prédictions
de la Théorie du Terminator
Depuis
son vrai faux-retour en politique, Terminator, dès l’aube de la Libération par
les « conglomérats des KULUNA & …. » (sic, Mzee), et ses prophéties prodigieuses à suivre attentivement ( sur l’occupation, l’infiltration, identification des
ennemis, complot ourdi et soutenu par l’oncle SAM et affidés, génocide de basse
intensité, viol généralisé, insécurité chronique, pillage des ressources,
infantilisation de l’élite congolo-zaïroise atteinte hélas de syndrome de
LARBIN, promotion abusive des métèques à tous les niveaux, impunité garantie
pour les gladiateurs et viking zélés, dépeuplement intensif des pans entiers
des terres convoitées et leurs peuplement par une espèce d’humanoïde bien
sélectionné … minimisation des pertes tant humaines que matérielles) pour le Congo en général (autant
d’hypothèses à vérifier la réalisation pour confirmer ou infirmer la Théorie
immonde et indigeste) et le peuple Topoke ( par la mise à l’écart subtil de ses dignes fils
« écartement méthodique aux postes de responsabilité, montage de cabale,
retraite prématuré des bébés, pire encore, élimination physique des
incorruptibles fils guerriers descendants de LIFETA li MALEMBE et BEATA go
YABOTUMELASE, … jusqu’à la mise en place de la stratégie dite de « LIATU go Ngumbo, voire cas Simi Simi & Segama »), en
particulier ! Pour aboutir, si on y
prend garde, avec la LOI de la décentralisation d’application précipitée, pour
les besoins de la cause, à la « fameuse balkanisation, annexion des Terres
tant convoitées et la création, à terme, de l’empire MAHI TSITU tant redouté par Terminator et ses affidés » ! Ambiance.
Conclusion
En
guise de conclusion, les esprits faibles des affidés trouvent, hélas, une
certaine cohérence et logique, des prédictions du Terminator, par ignorance et
mauvaise fois, ils constatent, hélas, la réalisation sur terrain et la justification
de sa Théorie, à un coefficient de mensonge près. Dores et déjà, je puis faire
mien l’assertion du 13e président du conseil
de la Réserve fédérale de l’oncle SAM, Alan Greenspan, que « si un seul
digne fils ESO m'a compris, c’est
sans aucun doute que je me suis mal exprimé » !
Alors, en conscience, tel n’est pas mon souhait. S’il y a un seul mot qui fait
fâcher, je m’en excuse et je vous prie de le supposer comme n’ayant jamais été
écrit et de le retirer, illico presto, mieux encore, de le remplacer par un mot
plus gentil et amusant. Je fais totalement miens les assertions de Bweng’aa
Ngelesa que je salue avec amour et envie de le rencontrer subito, que « nous
débattons essentiellement pour rapprocher nos vues et nous cultiver mutuellement, de manière positive. Mais, non
pas pour nous faire prévaloir des autres à tout prix, quels que soient nos
torts et égarements. De ce fait, chacun de nous est appelé à l’honnêteté, au
bon sens et surtout à l’humilité ». Amen.
Aucune méchanceté possible de ma pensée, mes frères et sœurs, juste un Travail Dirigé
« TD », pour faire tourner mes neurones et amuser, si possible la
galerie. S’il persiste un moindre doute de ma sincérité, alors je m’en excuse amèrement.
De
toutes les façons, tout est hyperbolique dans la vraie vie et « le Travail
Pratique » dans mes nouveaux domaines d’intérêt, le néophyte par
excellence, me permet de réitérer ma demande constante adressée à nos savants d’assumer
leur « savanité », de partager
leurs immenses savoirs et expériences, « sous notre hangar commun, Forum
Isonga-songa » en étant un peu plus long dans leur explication, leur réaction
ou en posant moins de « question attrape nigaud ni garder un « silence
quasi méprisant ( !) » De grâce évitons des réactions en peu de mot
ambigu : en vertu de la maxime qui dit que « c’est
par l’abondance du cœur que la bouche parle » !
Cependant,
l’exercice nous a permis de constater, avec tristesse, que « les Scientifiques
ou ceux qui les imitent », peuvent aussi, pour les besoins de la cause, échafauder
des théories, manipuler les données et surtout présenter des résultats de leurs
recherches en suivant scrupuleusement la « fameuse
méthode scientifique » pour soutenir et défendre des causes
perdues ou des théories douteuses, et pire encore, pour satisfaire aux
desideratas des financiers de leurs « recherches enquêtes », ou pour détruire
l’adversaire /ennemi de ces derniers, non, selon le sacro-saint principe de
YAFOI « bonu ex quacumque causa, malum ex quacumque defectu » c.à.d.
« le bien c’est quand tout est bon et s’il y a le moindre défaut, c’est
mal », mais selon le postulat
de YAFOI généralement admis selon lequel « Tout ce que dit Terminator est mauvais, sauf preuves du
contraire » !
L’analyse
CRITIQUE de TOUT DOCUMENT, suivant les règles de l’art, permet aux
« assoiffés et affidés de la VERITE » de séparer « le bon grain
de l’ivraie » ! Tout en gardant à l’esprit les paroles de Joseph Goebbels, ministre de propagande
d’Adolf Hitler « qui aimait à répéter, - puisqu’il en usait à tout bout de
champ - que « plus
le mensonge est gros, plus il passe facilement », propos rapporté par un vrai affidé du
Terminator, Yajovin. Attention donc aux « avis ex cathedra et sans appel » !
Se/ThéoBaelo/Bxl le
12 mars 2015
[1] http://archimede.mat.ulaval.ca/amq/ArchivesMemoires/autres/spectre.html:
consulté 10 février 2015 à 20h58
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