SAGA de SEM LM WALLE en DEUX ans sous COVID-19

Maître Louis-Marie, WALLE Lufungula, au deuxième tour, après celui du mercredi 10 avril 2019, que cet ancien magistrat du parquet de Grande Instance de Goma, devenait le troisième gouverneur élu de la Province mythique de la Tshopo. Il n'a pas laissé au Gouverneur sortant Constant LOMATA aucune chance pour se succéder à lui-même ! Dix-sept voix obtenues sur les 27 votants alors qu’au premier tour il avait eu sept voix, poursuivi par C. LOMATA qui en avait six.

Dans les rues "boyomaises sans FIL", c’était une liesse populaire : des cris de joie, des klaxons de taximen-motos retentissaient partout. Pour saluer l'arrivée à la tête de la TSHOPO, d'un digne fils, avec espoir « cette dernière va bientôt avoir une nouvelle ère pour son décollage et son développement », mais c'était sans compter avec la meute des sorciers et autres chiens enragés déterminés à faire descendre, par tous les l'apôtre et l'envoyé du Maitre pour le développement et la promotion de la Province.

-walle lufungola.jpg

Pour rappel, Louis Marie Lofungola avait démissionné du PPRD pour se présenter en indépendant avec comme vice-Gouverneur, M. Maurice ABIBU Sakapela Bin Mungamba, ancien journaliste de la RTNC/Kisangani, grand défenseur du RCD/Goma à Kisangani, il fut ministre provincial en charge de l'Intérieur, Sécurité du premier gouverneur de Province M. Jean ILONGO Tokole, premier Gouverneur de la Tshopo issue de la province Orientale démembrée.

WALLE Lufungola, qui est-ce ? Juriste de formation, né à Yangambi un certain 25 juillet 1964. Il a fait ses humanités Latin Philo au Collège Maele à Kisangani, ses études de Droits à l’Université de Kinshasa. il fut nommé magistrat au parquet de Grande Instance de Goma. De là, il embrassa la carrière politique avec "l'avènement de conglomérat des opportunistes et aventuriers de l’AFDL" du Mzee Laurent Désiré KABILA. En 1996, à Kisangani, il fut nommé Premier Secrétaire Provincial de l'AFDL, fonction supposé à tort comme supérieur à celui du Gouverneur de Province ! Il quitta ses fonctions du Directeur Général du Journal Officiel de la RD Congo, avant de poser sa candidature au poste de Gouverneur de province. Marié et Père de cinq enfants, le troisième Gouverneur de la Tshopo, Louis marie WALLE Lufungola, conscient de l'envoutement voir du signe indien qui poursuit la TSHOPO depuis l'indépendance nationale, avec des guerres et tueries à répétition (rébellion 1964, mercenaires de tout bord, l'avènement des opportunistes et aventuriers de l'AFDL, qui confia la Province à DIEU (Jésus) en organisant une Prière Œcuménique à l'Esplanade de la poste de Kisangani.

Depuis lors, tous les sorciers et autres esprits malins s'acharnent contre lui avec des accusations mensongères. Mais le Maitre de l'Univers est toujours avec lui et malgré tout, il tient bon et ses compatriotes l'ont surnommé, "TCHUMA ya MOTO càd barre de fer chaud", qu'on ne serait tenir à mains courantes !

Malgré des complots ourdis des sorciers de tout acabit, Me LM WALLE L. résiste encore aux ouragans des motions à répétition qui secouent des Institutions Provinciales à travers la RD Congo ! Visé par une deuxième motion de censure signée par 14 élus sur les 28 députés de la province de Tshopo, WALLE Lufungula et toute son équipe gouvernementale ont pu saisir la COUR constitutionnelle et l'Assemblée provinciale notifiée, aurait dû ne pas aller jusqu'au bout, en votant leur motion de censure, initialement signé par 14 élus, ce sont 17 députés qui ont voté ladite motion, sans atteindre le quorum requis en pareille situation. Ayant constaté l'erreur, ils auraient établi un Procès-verbal en dehors de l'Assemblée Provinciale : "faux usage de faux"! Ainsi la Cour Constitutionnelle est saisie de toutes ces irrégularités.

Mais les prétendus connaisseurs de la chose juridique ne s'entendent pas sur la surséance de l'action (!), attendons l'Institution ayant qualité et autorité pour interpréter la LOI, la Cour Constitutionnelle. D'ici là, le combat cessa faute de combattants et les affidés de chaque camp se battent dans les réseaux sociaux.

Pourtant "Nul ne peut être jugé deux fois pour les mêmes faits " ! En effet, l’exécutif provincial est notamment accusé de "manque de vision claire de développement, des actions hasardeuses, à bâton rompu, clopin-clopant et clairement prédatrices, une gestion «opaque et calamiteuse» des finances publiques ainsi que le détournement de 2,5 millions de dollars américains....”

Absent à la fameuse séance où il était attendu pour répondre aux accusations contenues dans leur motion, SEM le Gouverneur WALLE, à travers une lettre adressée au bureau de cette assemblée, les invita à la sagesse afin d’éviter «une énième humiliation (!)». En effet, SEM le Gouverneur, Louis-Marie Walle Lufungula dénonce l’attitude des députés, qui reviennent sur un problème déjà tranché en sa faveur aussi bien par la cour d’appel que par la Cour constitutionnelle.

Evoquant le principe général de droit selon lequel "nul ne peut être jugé deux fois pour les mêmes faits", afin d'«éviter une énième humiliation à la population de la Tshopo par des actions irréfléchies et hasardeuses des députés provinciaux».

Wait and see ....jusqu'à la fin de la procédure devant la COUR constitutionnelle. Dans l'entre-temps, un général de la PNC qui a tenu imprudemment "la barre incandescent LMWL", en a eu pour son compte !


mercredi 26 décembre 2018

�� TU ATTIRES CE QUE TU IMAGINES LE JEU DE LA VIE *Florence Scovel Shinn ...

�� TU ATTIRES CE QUE TU IMAGINES LE JEU DE LA VIE *Florence Scovel Shinn ...

samedi 13 octobre 2018

lundi 3 septembre 2018

DE L'IRRECEVABILITE DE LA CANDIDATURE DE J.P. BEMBA PAR LA CENI


Analyse de Me Bernard, 
Nous estimons que la CENI vient de commettre un faux pas de plus qui la décrédibilise aux yeux des Congolais. Nous supposons qu’elle a un service ou une direction juridique qui veille non seulement à l’application des textes légaux la visant, mais aussi, à l’interconnection de ceux-ci avec les autres textes légaux. Si c’est le cas, son Service a failli.
La confusion des textes légaux relatifs à la subornation des témoins et la Corruption est flagrante,  bien que tous les deux soient des infractions intentionnelles instantanées prévues  par le Code Pénal congolais, il y a lieu de retenir ils sont distincts en définition et en conséquences :
Selon le dictionnaire, La subornation de témoins est  le fait de faire pression sur un témoin par le biais de dons, de promesses ou en exerçant des menaces à son encontre afin qu'il modifie sa version des faits dans le cadre d'un procès. C’est une sorte de complicité à l’infraction de faux témoignage.
Dans le Code Pénal congolais, la subornation des témoins est localisée dans le Livre II, Section V, intitulé « Du faux témoignage et du faux Serment », aux  articles 128 et 129 qui prévoient :
« 128. Le faux témoignage devant les tribunaux est puni de servitude pénale.. La peine peut s'élever à cinq ans.
Si l'accusé a été condamné soit à la servitude pénale à perpétuité, soit à la peine de
mort, le faux témoin qui a déposé contre lui peut être condamné à la peine de servitude pénale à perpétuité.
129 : Le coupable de subornation de témoin est passible de la même peine que le faux témoin, selon la distinction de l'article précédent. »
L’objet de cette dernière infraction est l’incitation au mensonge ou à son abstention. Le but est d’égarer la justice et enfin,  la conséquence est qu’une fois la démarche du suborneur posée, qu’il y ait effet ou pas effet, il doit être poursuivi.
La Corruption, elle peut être active ou passive, publique ou privée, est un comportement pénalement répréhensible par lequel une personne (le corrompu) sollicite, agrée ou accepte un don, une offre ou une promesse, des présents ou des avantages quelconques en vue d’accomplir, de retarder ou d’omettre d’accomplir un acte entrant d’une façon directe ou indirecte dans le cadre de ses fonctions.
La corruption procure un enrichissement personnel du corrompu, en espèce, en nature, ou en tout autre avantage.
Le Code Pénal congolais réprime cette infraction. Nous la retrouvons dans le Livre II, Section VII « De la Corruption, des rémunérations illicites, du trafic d’influences et des abstentions coupables des fonctionnaires », article 147, auquel renvoie l’article 10 de la Loi électorale qui prévoit en substance les conditions d’inéligibilité dont :
« 1. Les personnes privées de leurs droits civils et politiques par décision judiciaire irrévocable.
2. Les personnes condamnées par une décision judiciaire irrévocable pour crimes de guerre, crime de génocide et crimes contre l’humanité ;
3. Les personnes condamnées par un jugement irrévocable du chef de viol, d’exploitation illégale des ressources naturelles, de corruption, de détournement des deniers publics, d’assassinat, des tortures, de banqueroutes et de faillite ;
4. Les personnes frappées d’une incapacité mentale médicalement prouvée au cours des cinq dernières années précédant les élections ;
5. Les fonctionnaires et agents de l’administration publique ne justifiant pas, à la date limite du dépôt des candidatures, du dépôt de leur demande de mise en disponibilité ;
6. Les mandataires actifs dans les établissements publics ou sociétés du portefeuille ne justifiant pas, à la date limite du dépôt des candidatures, du dépôt de leur lettre de démission ;»
7. Les magistrats qui n’auront pas donné la preuve, à la date limite du dépôt des candidatures, du dépôt de leur lettre de mise en disponibilité ;
8. Les membres des forces armées et de la Police nationale congolaise qui n’auront pas donné la preuve, à la date limite du dépôt des candidatures, de leur démission acceptée ou de leur mise à la retraite ;
9. Les membres du Conseil économique et social, du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, de la Commission nationale des droits de l’Homme, du Conseil National de Suivi de l’Accord et du processus électoral, de la Cour des comptes qui n’auront pas donné la preuve, à la date limite du dépôt des candidatures, de leur démission ou de leur mise à la retraite ;
10. Les membres de la Commission électorale nationale indépendante à tous les niveaux, y compris le personnel.
Il importe de rappeler que les conditions d’éligibilité à la fonction du chef de l’Etat sont clairement prévues par la constitution, du 18 février 2006, en son article 72 qui prévoit :
« Nul ne peut être candidat à l’élection du Président de la République s’il ne remplit les conditions ci-après :
1.      posséder la nationalité congolaise d’origine;
2.      être âgé de 30 ans au moins ;
3.      jouir de la plénitude de ses droits civils et politiques;
4.      ne pas se trouver dans un des cas d’exclusion prévus par la loi électorale. 
A notre humble avis, tant le Code Pénal congolais qui distingue clairement les deux infractions (Subornation des témoins et corruption) que la Loi électorale, du 24 décembre 2017 ; voire même le socle de la matière électorale dans la Loi fondamentale, ces textes sont clairs et ne suscitent pas d’interprétation.
Sur ce point, les textes légaux ne peuvent faire l’objet d’interprétation que lorsqu’ils ont des sources obscures, c.à.d. il y a un doute sur leurs sens, le législateur n’a pas voulu dire ce qu’il a dit dans le texte.  En ce cas, ce même  législateur ou le pouvoir exécutif ou le Juge,  chacun en ce qui le concerne  va chercher, selon DELPEREE, une interprétation souple mais fidèle, intelligente mais prudente, imaginable, mais objective, soit l’intention réelle du législateur.  Par l’interprétation souple, on entend,  celle qui est favorable à la personne qui fait l’objet de la poursuite ou de la condamnation.
Si la CNI n’a pas trouve les trois textes légaux auxquels elle est renvoyée, cohérentes, elle devrait simplement soumettre le cas de BEMBA,  au Juge constitutionnel qui est sensé maîtriser les textes légaux avec la particularité  du droit pénal qui est d’interprétation stricte, toute interprétation par analogie étant en principe  prohibée.
Si la Subornation des témoins était équivalente à la Corruption (qui rend le candidat inéligible), le législateur congolais  n’allait pas les prévoir dans deux sections distinctes du Code pénal et allait préciser clairement cette condition dans l’article 10 de la loi électorale.
Pour le surplus, la décision de la juridiction internationale portant sur la subornation des témoins n’interdit pas à JP BEMBA, l’exercice de ses droits civils et politiques.
La rigueur de la loi, nous oblige à se soumettre à l’application d’une loi claire, exempte d’imprécisions car ce qui est claire ne souffre pas d’interprétation. Les textes légaux sont clairs, la candidature de J.P. BEMBA ne  doit pas être écartée pour un motif fallacieux légalement.
Il appartient aux avocats du MLC de s’activer pour introduire un recours à la Cour Constitutionnelle et voire même, un recours en extrême urgence,  au Conseil d’Etat, pour entendre annuler  l’acte administratif de la CENI.
Pour répondre à notre vieux LEON KENGO, un ancien de l’ULB, qui évoque que l’acquittement de JPB de l’infraction principale disqualifie l’infraction de subornation des témoins, une telle argumentation ne reflète pas la réalité juridique pénale car  le législateur  en général a érigé, la subornation des témoins, en délit principal et  autonome, permettant ainsi la répression du suborneur, même dans le cas où le témoin n’aurait pas établi un faux témoignage, et où il n’y aurait donc pas de délit principal de faux témoignage.

Me Bernard AYAYA


jeudi 19 juillet 2018

RAPPEL HISTORIQUE D'ÉCHANGE AVEC MON FRÈRE BIEN AIME EN 2015


Bonjour cher frère,

Après avoir lu et relu attentivement la troisième réaction de mon frère (- d'abord la fameuse question test de demande méthodologique à la question du néophyte que je suis en la matière, puis – l’explication-réaction du scientifique à la réaction-secours d’un autre scientifique à la « question-piège attrape nigaud »!), je n'arrive vraiment pas à comprendre comment, la simple question introductive d’appel à la réflexion et à la méditation d'un document peut-être qualifiée de « question piège ou de question orale sans débat» et d’autant plus la fameuse réaction dite musclée exprimait des besoins personnels du néophyte et non une missile qualifiée  « d'injurieuse, musclée, disproportionnée, ironique, ... » voire de foudroyante ( Kake, Kai, Ndiba, … et non juste un LIgegendi ) ! Pire encore, le néophyte est assimilé à un oiseau dangereux (Ndjou, Kokombe, Lihuluhulu, Botuma, ...) et nostalgique défendant  BEC et ONGLE (la bafafu, la bafalala, ba bofogofogo ...) le Sieur Terminator, diable fait homme ! 

Je suis en plus chagriné que l’on pense, un seul instant que Botshafulo bo Logogo (afoe baye ba litongo kamo !) soit nostalgique de la république de Gondouana de Terminator (grand prêtre du système qui a laissé en lui des traces négativement indélébiles !), et non de celui admiré par son frère bien aimé, la république sœur de YAFOI, « le pays où tout va bien, le pays où il n'y a plus de problème » parce que débarrassé des brebis galeuses du genre Terminator, de triste souvenir. On n’y chante plus, encore moins, danser pour le PF, mieux pour l’AI, « l’Autorité Immorale » ! En effet, « il n'y a plus de morts à YAFOI ni esprit de mort, encore moins, des escadrons de la mort du genre « HIBOUX ou DSP »(!), mais seulement comme à la République de MBENGE, où l'on trouve partout « les effigies de l'homme qu'il fallait, voté à 100 % par les VIVANTS et les MORTS, digne FILS de YAFOI, le père éclairé, le  Responsable des Assassinats et de l’Immoralité Sociale, autrement reconnu « RAÏS », pour les fans de la dernière heure : modernité de la révolution oblige». 

Mea Culpa, je me suis certainement mal exprimé, d’autant plus que mon message aurait présenté d’emblée un certain caractère d’hostilité, d’agressivité, d’animosité gratuite et surtout non profond ni brillant, superficiel, autrement dit épidermique ! Être mal compris à ce point mérite de tourner sa langue n fois avant d’ouvrir la bouche sans dents.

Définition des mots usités

Avec espoir d’être plus dermique, mieux encore, un peu plus profond, précisons d’emblée que dans le texte incriminé, loin d’être une injure, le néophyte désigne, à l’instar d’un NOUVEAU adepte d’une religion, d’une doctrine, d’un parti, d’un art, …, une personne comme moi, qui aborde un NOUVEAU domaine d’expérience, ici les sciences humaines, particulièrement la « folonika = art de mentir ». Dans mon texte, le représentant des néophytes, c’est moi-même. Jadis ingénieur pour rire, en ces temps qui sont les derniers, je m’intéresse aussi et surtout  aux « sciences des vivants et des morts », comme un intrus, à la chose de BONTO.

Des termes « Savant, expert, technocrate, spécialiste, … » ne sont pas des titres académiques et encore moins des injures à MBENGE et peut-être à YAFOI ! Bien que SAVANT soit le terme « pur, formé à partir de la racine SAVOIR, il est plus ou moins tombé en désuétude et remplacé par SCIENTIFIQUE ou Chercheur ». Ainsi SAVANT signifie également, « qui est bien instruit, bien informé de quelque chose ».  Autrement dit, quand mon frère de YAFOI se reconnaît aisément Scientifique, il n’y a aucune usurpation de sa part, et quand je dis que, lui et mes autres « frères et amis » sont des Chercheurs ou Savants, nous disons pratiquement la même chose, à l’orthographe près. Donc il n’y a ni ironie et encore moins INJURE. D’autant plus qu’un SCIENTIFIQUE désigne une personne qui se consacre à l’étude d’une SCIENCE ou des SCIENCES et/ou qui se consacre à l’étude d’un domaine avec RIGUEUR et Méthodes Scientifiques. A MBENGE, ils sont appelés « hommes de science » ou « NGANGA MAYELE ».

J’attends par TECHNOCRATE, un partisan de la technocratie c.à.d. un personnage (politique ou haut fonctionnaire) qui agit, décide en fonction de données techniques ou économiques. Donc comme scientifique, expert, il privilégie moins « l’idéologie » ( qui donne la priorité aux facteurs humains, éminemment subjectif ).

L’EXPERT n’est pas simplement celui qui sait, sur un champ délimité du savoir, mais une personne à qui, l’expérience reconnue, lui permet d’apporter une réponse argumentée à une demande d’expertise. Ainsi dès que nous sollicitons une aide, même indirecte, pour différencier « l’info de l’intox », nous faisons appel à ceux qui ont une certaine expérience dans le domaine ou maitrisent les nuances entre les méthodologies usitées en sciences « des vivants et des morts » pour éclairer nos lanternes : ni piège, ni polémique stérile et encore moins « question orale sans débat, à vrai dire, nous aimons les débats et échanges mutuellement enrichissants, du moins, pour nous les néophytes ». Notre souci de base demeure de connaitre, encore et toujours, un peu plus. Surtout si celui qui veut réfléchir à haute voix est supposé être maître dans le domaine : « partage fraternel de choses de l’esprit ».
Le Web définit le DETRACTEUR comme étant celui ou celle qui prend plaisir à critiquer voire rabaisser quelqu’un ou quelque chose (voire des échanges des prototypes des détracteurs en pièces jointes). Peut-on vraiment dire, après lecture des écrits de « l’homme indépendant et penseur libre » sur Terminator, que celui-là a une haute bonne opinion de celui-ci ? A chacun son opinion.
De l’enquête non scientifique

http://auto.img.v4.skyrock.net/2195/1252195/pics/29021017.jpgSans une analyse critique sérieuse préalable, conformément aux règles de l’art, de la feuille de chou du Terminator, mon frère affirme, ex cathedra et sans rire que, « l’enquête à la Ngbanda » est tout (« enquête de marketing, judiciaire, journalistique, ... administrative, sociologique, parlementaire ... de détective ou d'espionnage, enquête devant, par -devant le juge »), sauf une « enquête scientifique », conduite selon les règles de l'art ! Sans vraiment nous dire en quoi « l’enquête dite scientifique » prime sur tous les autres types d’enquêtes ou d’études ? Parce qu’à YAFOI, l’autorité morale qui ne reconnait que celle-ci et/ou parce ce que le « Jury des scientifiques de  MBENGE, non loin de GONDOUANA », mondialement connu, ne tient pas à rendre crédible ni cautionner « les versets sataniques à la Ngbanda comme œuvre d’esprit » indigne d’être examinée par les membres de l’Académie de Science de MBENGE !

On dirait qu’une « fatwa de l’Ayatollah Mollah OTEM (pour les disciples) frapperait déjà, à YAFOI, toute œuvre de l’esprit susceptible de sortir de la « caboche démoniaque du Terminator » !
Est-ce vraiment l’attitude recommandée d’un « Nganga mayele » ou celui d’un « idéologue de Tshembe-Tshembe, du parti PPPP » séquelle du Parti-Etat? L’approche méthodologique ressemble admirablement à la «  révolution comparaison » du régime de « conglomérat d’opportunistes et d’aventuriers » de YAFOI !    Selon les « avis éclairés » du grand prêtre Bweng’aa BAIMOLI de l’académie des Sciences de MBENGE, c’es avec une « analyse critique dudit document », qu’on auraitexaminer froidement des « faits relatés, des chiffres affichés, des interprétations d’observations menées afin certainement de les nuancer, contredire et/ou compléter » :
o    Nuancer : montrer que la position du Terminator n’est pas acceptée  unanimement et qu’il existe d’autres points de vue émanant des occupants, des collabos, etc.
o    Contredire : Ce que dit Ngbanda dans telle ou telle assertion manifestement fausse compte tenu de connaissances de l’expert ou l’existence d’autres documents.
o    Compléter : certains points ou arguments ne sont pas évoqués, alors on enrichit le document, avec d’autres éléments (archives) émanant de la ferme Académie de YAFOI. Le papier du Terminator n’est pas encore historique, en tant que contemporain à lui, chacun « homme libre et penseur indépendant » a l’avantage d’analyser et d’émettre des critiques objectives, pour le nuancer, le contredire et mieux encore le compléter.

En néophyte zélé de Mbenge, le pseudo-scientifique, persiste à croire, à tort, que les « versets sataniques à la Ngbanda » respectent naturellement et scrupuleusement,  une certaine « méthode scientifique » et les résultats de son enquête ne manqueraient pas d’être soumis, sous peu, pour publications à la revue « NATURE, SCIENCE, … MOPAP revues dotées de comité de lecture prestigieux ».

D’après les charlatans des « sciences des vivants et des morts » de MBENGE, le terme « méthode » suggère sournoisement « l'idée implicite de son unicité », tant auprès du grand public que de certains savants de YAFOI, qui de surcroît la confondent parfois avec la « seule méthode hypothético-déductive ». L'étude des pratiques des chercheurs de GONDOUANA révèle cependant que « la grande diversité de démarches et de disciplines scientifiques confrontée à l'idée d'une unicité de la méthode est rendue très problématique ». Cependant, ce constat ne doit pas être entendu comme une « forme d'anarchisme épistémologique ». Si la question de l'unité de la méthode est problématique, cela ne remet pas en question « l'existence d'une pluralité de canons méthodologiques qui s'imposent aux chercheurs dans leurs pratiques scientifiques ».

Même au pays des Immortels, « la question de la méthodologie unique et univoque » préconisée par les scientifiques de YAFOI, le pays où tout va bien, « certaines insinuations sur cette question précise paraissent préjudiciables à l'intelligence ( !) et de conclure que « la véracité des résultats d'une étude est toujours directement proportionnelle à la fiabilité d’approches, à l'authenticité des sources et à la crédibilité des agents qui dépendent elles aussi de la valence et du profil intrinsèque  des chercheurs ». Curieusement Terminator et ses affidés seraient aussi de cet avis !

En outre, selon le CREDO des « Nganga LOKUTA de MBENGE, qui aiment TOUT lire et ont du temps à revendre, mêmes les « charabia dixit Terminator », avant d’exclure toute « enquête ou recherche » hors d’étiquette scientifique, il faut montrer, au néophyte, qu’à l’aide de l’analyse critique négative interne et d’exactitude dudit document, que les caractéristiques objectives ont été bafouées et non, par un revers de la main et selon le principe généralement admis à YAFOI que, « tout document produit par Terminator ne soit pas reconnu scientifique jusqu’à preuve du contraire (qu’on refuse, hélas, naturellement d’examiner) !» En dehors de toute phase de la « critique interne », ou « herméneutique », les scientifiques de YAFOI ne s’intéressent guère au contenu du document, c.à.d. déterminer ce qu’a voulu dire l’auteur par « l’analyse du contenu et la critique positive d’interprétation pour s’assurer de la véracité des faits ;  l’analyse des conditions dans lesquelles l’acte est produit et la critique négative nécessaire pour contrôler les dires de l’auteur ». Ces opérations critiques ont pour but, notamment, de s’interroger sur les motivations véritables de l’auteur. Dans ce cas Langlois et Seignobos parlent de « critique interne négative de sincérité et d’exactitude », voire in LANGLOIS, Charles-Victor et SEIGNOBOS, Charles, « Introduction aux études historiques », Paris, Hachette, 1898.

Méthode scientifique

De Mao, nous avons appris de l’abbé JP MBEL  que « pour mettre de l’ordre dans une organisation, il faut commencer par le mettre dans les idées. Cette bataille des idées, de son avis, doit se mener dans la sérénité et sans tabou » : donc un débat intellectuel contradictoire et respectueux, sans injure ni brutalité» : c’est le CREDO existentiel de MBENGE.
                                        La méthode dite scientifique  englobe la totalité des canons guidant ou devant guider le processus de production des connaissances scientifiques, que ce soit des observations, des expériences, des raisonnements, ou des calculs théoriques.
                                       Dans les Sciences dites humaines (folonika, adisi ndjoo, économie, filatologie,  ethnologie, parapsychologie, …) la démarche expérimentale semblait délicate. Selon Terminator et ses affidés, l'aspect prédictif de la méthode appliquée aux phénomènes humains (filature, camouflage, enquête caméra cachée, interrogatoire musclé à la Jack BAUER, etc.) est fréquemment mis en défaut, sauf, peut-être, pour la Révolution de la modernité de YAFOI …
                                       S’inspirant de plusieurs auteurs dont  Michel Foucault dans « Les mots et les choses », Terminator et ses affidés se méfient de la « tautologie qui consiste à définir une discipline comme scientifique parce que son nom contient le mot science ». A l'instar de la philosophie, chère au Terminator, il est recommandé à « ces disciplines » de s'assumer aussi comme « démarche rationnelle d'étude du réel sans expérimentation envisageable » : cas de la « camouflologie à caméra cachée » ! Terminator met quiconque au défi de prouver que sa « méthode n’est pas scientifique », meilleur entre les HIBOUX, parole de l’Aigle de KAWELE !
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DEMARCHE SCIENTIFIQUE
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/3e/M%C3%A9thode_scientifique.jpg 


Les étapes de la démarche
1° Observation : première étape pour résoudre une « énigme scientifique » telle que « le fonctionnement du réseau d’infiltration et d’occupation d’un état par un autre en Afrique Centrale », demeure l’observation. C'est alors il faut récolter des indices, prendre des notes, faire des photos, des croquis, des schémas …. En relevant des données qualitatives (nouveau comportement de maitres et leur nocivité, cellules organisationnelles infiltrées, … nature des personnes tuées, transplantées)   et quantitatives (nombre des personnes infiltrées, leur âge, taille, … ressources naturelles pillées, … nombre des tués par nature, nombre femmes violées). Grâce à ces observations, une énigme émerge (l’occupation): Que s'est-il passé ?
2° Les Hypothèses – les pistes
La seconde étape, c'est l'émission d'hypothèses, de pistes. On va faire toute une série d'hypothèses et sélectionner une série d'entre elles à explorer et qui feront l'objet d'expériences.

3° Les Expériences
Dans cette étape, on vérifie les hypothèses émises en réalisant des expériences et des analyses. Les résultats de ces expériences devront ensuite être interprétés.

Les Résultats et la vérification des hypothèses (pistes)
Cette étape débute par l'analyse des résultats : sont-ils en accord avec les hypothèses émises ? Doit-on faire de nouvelles hypothèses ou les hypothèses sont elles vérifiées ? Si de nouvelles hypothèses sont envisagées, on reprend les expériences. Si l'hypothèse est vérifiée et que les résultats sont en accord avec celle-ci, alors on communique les résultats sous forme de conclusions.

5° Conclusion
Les conclusions reprennent l'énigme de départ et les différentes hypothèses suivies. Dans la conclusion, on retient les résultats pour répondre à l'énigme en sélectionnant les hypothèses validées par les expériences.

Méthode Scientifique Classique admise à MBENGE
 







Méthode Scientifique Moderne admise à YAFOI
Pas besoin de partir des observations, mêmes relevées par le panel de l’ONU ni les ONG et encore moins sous des lunettes, sans verres, du Terminator : toujours une interprétation libre. Demeurer toujours critique, surtout si l’observateur n’a jamais fait d’allégeance au calife de KINGANDANI ! Se méfier absolument si « Terminator et ses affidés » auraient pu croiser les experts de grands lacs. Adapter nécessairement les résultats afin de « modifier la théorie pour coller aux données » selon « la fameuse théorie savante » de l’expert MULUNDA permettant, hélas, jusqu'à la modification des « données » pour les besoins de la cause !
 






http://archimede.mat.ulaval.ca/amq/ArchivesMemoires/autres/schema.gif
Les Savants de MBENGE des Sciences Appliquées[1] prétendent suivre, grosso modo une « méthode scientifique » consistant de façon simplifiée pour une meilleure compréhension (des néophytes), décliné également en quatre étapes : modélisation, déduction logique, interprétation, vérification expérimentale.
Face à une situation réelle donnée, « occupation du Congo Belge, par exemple, par ses voisins de l’EST », le scientifique de Mbenge simplifie « à la Ngbanda » en faisant abstraction « d'une foule de détails, notamment présence de Mbororo, transplantation des FDLR, moulinage des (23M +DCR + LDFA + … ), éléments mixés et brassés, promotion dans les institutions notamment dans les FARDC … pour ne retenir que ce qu'il croit essentiel «partage équitable équilibré  des ressources pillées, les rescapés du massacre du Terminator, les naufragés du Parti-Etat, le Mobutisme, etc.»
Le résultat de cette opération de modélisation est un objet mathématique (que toutes les enquêtes ou recherches de YAFOI doivent scrupuleusement respecter sinon, poubelle) le modèle retenu de la situation réelle :

  x = la révolution comparaison – la révolution de la modernité
       n = nombre d’années [Colonialisme + (Kabilisme – Mobutisme) + période (1+4)]
        a0  = coefficient bien-être f [indice PNUD(IDH), croissance, Respect droits humains]
        a  =  maximum [Km routes asphaltées (colonialisme – mobutisme)]
       b = maximum [Km routes asphaltées (colonialisme + Kabilisme – Mobutisme)/n]
      jkk = coefficient « des jeunes katangais kaolin » donné par l’abaque ZAMBOKO
       L = Distance en mètres entre ANKORRO et GBADOLITE
 
  









Ensuite vient « l'analyse du modèle par une panoplie de méthodes mathématiques dont l'efficacité a été décuplée depuis une quarantaine d'années par l'utilisation de grands Ordinateurs Scalaires ou parallèles ».
Le produit de cette opération de déduction logique consiste en un ou plusieurs énoncés qui ont la propriété de se prêter à une interprétation ayant un sens dans la situation réelle donnée au départ que « les savants de YAFOI peuvent rajuster conformément à la volonté de l’Autorité Morale, bien-aimée ».  Le produit de cette opération d'interprétation est un « projet de loi scientifique = la loi Yafoi no.17i» qui, pour être sanctionné, doit franchir « l'étape cruciale de la vérification expérimentale qui complète le cycle de la méthode scientifique » que le Sieur Terminator et affidés sont congénitalement incapables de respecter ou de faire respecter, jusqu’à preuve du contraire! Ambiance.

Prédictions de la Théorie du Terminator

Depuis son vrai faux-retour en politique, Terminator, dès l’aube de la Libération par les « conglomérats des KULUNA & …. » (sic, Mzee), et ses prophéties prodigieuses à suivre attentivement ( sur l’occupation, l’infiltration, identification des ennemis, complot ourdi et soutenu par l’oncle SAM et affidés, génocide de basse intensité, viol généralisé, insécurité chronique, pillage des ressources, infantilisation de l’élite congolo-zaïroise atteinte hélas de syndrome de LARBIN, promotion abusive des métèques à tous les niveaux, impunité garantie pour les gladiateurs et viking zélés, dépeuplement intensif des pans entiers des terres convoitées et leurs peuplement par une espèce d’humanoïde bien sélectionné … minimisation des pertes tant humaines que matérielles) pour le Congo en général (autant d’hypothèses à vérifier la réalisation pour confirmer ou infirmer la Théorie immonde et indigeste) et le peuple Topoke ( par la mise à l’écart subtil de ses dignes fils « écartement méthodique aux postes de responsabilité, montage de cabale, retraite prématuré des bébés, pire encore, élimination physique des incorruptibles fils guerriers descendants de LIFETA li MALEMBE et BEATA go YABOTUMELASE, … jusqu’à la mise en place de la stratégie dite de « LIATU go Ngumbo, voire cas Simi Simi & Segama »),  en particulier ! Pour aboutir, si on y prend garde, avec la LOI de la décentralisation d’application précipitée, pour les besoins de la cause, à la « fameuse balkanisation, annexion des Terres tant convoitées et la création, à terme, de l’empire MAHI TSITU tant redouté par Terminator et ses affidés » ! Ambiance.

Conclusion
En guise de conclusion, les esprits faibles des affidés trouvent, hélas, une certaine cohérence et logique, des prédictions du Terminator, par ignorance et mauvaise fois, ils constatent, hélas, la réalisation sur terrain et la justification de sa Théorie, à un coefficient de mensonge près. Dores et déjà, je puis faire mien l’assertion du 13e président du conseil de la Réserve fédérale de l’oncle SAM, Alan Greenspan,  que « si un seul digne fils ESO m'a compris, c’est sans aucun doute que je me suis mal exprimé » ! Alors, en conscience, tel n’est pas mon souhait. S’il y a un seul mot qui fait fâcher, je m’en excuse et je vous prie de le supposer comme n’ayant jamais été écrit et de le retirer, illico presto, mieux encore, de le remplacer par un mot plus gentil et amusant. Je fais totalement miens les assertions de Bweng’aa Ngelesa que je salue avec amour et envie de le rencontrer subito, que «  nous débattons essentiellement pour rapprocher nos vues et nous cultiver mutuellement, de manière positive. Mais, non pas pour nous faire prévaloir des autres à tout prix, quels que soient nos torts et égarements. De ce fait, chacun de nous est appelé à l’honnêteté, au bon sens et surtout à l’humilité ». Amen. Aucune méchanceté possible de ma pensée, mes frères et sœurs, juste un Travail Dirigé « TD », pour faire tourner mes neurones et amuser, si possible la galerie. S’il persiste un moindre doute de ma sincérité, alors je m’en excuse amèrement.

De toutes les façons, tout est hyperbolique dans la vraie vie et « le Travail Pratique » dans mes nouveaux domaines d’intérêt, le néophyte par excellence, me permet de réitérer ma demande constante adressée à nos savants d’assumer leur « savanité », de partager leurs immenses savoirs et expériences, « sous notre hangar commun, Forum Isonga-songa » en étant un peu plus long dans leur explication, leur réaction ou en posant moins de « question attrape nigaud ni garder un « silence quasi méprisant ( !) » De grâce évitons des réactions en peu de mot ambigu : en vertu de la maxime qui dit que « c’est par l’abondance du cœur que la bouche parle » !

Cependant, l’exercice nous a permis de constater, avec tristesse, que « les Scientifiques  ou ceux qui les imitent », peuvent aussi, pour les besoins de la cause, échafauder des théories, manipuler les données et surtout présenter des résultats de leurs recherches en suivant scrupuleusement la « fameuse méthode scientifique » pour soutenir et défendre des causes perdues ou des théories douteuses, et pire encore, pour satisfaire aux desideratas des financiers de leurs « recherches enquêtes », ou pour détruire l’adversaire /ennemi de ces derniers, non, selon le sacro-saint principe de YAFOI « bonu ex quacumque causa, malum ex quacumque defectu » c.à.d. « le bien c’est quand tout est bon et s’il y a le moindre défaut, c’est mal », mais selon le postulat de YAFOI généralement admis selon lequel « Tout ce que dit Terminator est mauvais, sauf preuves du contraire » !

L’analyse CRITIQUE de TOUT DOCUMENT, suivant les règles de l’art, permet aux « assoiffés et affidés de la VERITE » de séparer « le bon grain de l’ivraie » ! Tout en gardant à l’esprit les paroles de Joseph Goebbels, ministre de propagande d’Adolf Hitler « qui aimait à répéter, - puisqu’il en usait à tout bout de champ - que « plus le mensonge est gros, plus il passe facilement », propos rapporté par un vrai affidé du Terminator, Yajovin. Attention donc aux « avis ex cathedra et sans appel » !



Se/ThéoBaelo/Bxl le 12 mars 2015